Bienheureuse Rosalie Rendu
Jeanne-Marie Rendu entra à Paris chez les Filles de la Charité, devenant « Sœur Rosalie ». Elle établit dans un faubourg misérable de Paris un refuge pour les indigents et mit tout son zèle à visiter les pauvres chez eux, à mettre la paix durant les guerres civiles qui agitèrent la capitale au début du XIXème siècle et à entraîner un grand nombre de personnes à exercer la charité. Elle seconda ainsi le zèle du bienheureux Frédéric Ozanam. Elle mourut en 1856, laissant dans le cœur du petit peuple de Paris l’empreinte de sa charité puisée aux plus pures sources de la foi.