Bienheureux Jean le Bon
Né à Mantoue, il exerça le métier de bouffon dans les palais et y mena une vie de plaisir, pas toujours très conforme aux exigences évangéliques. Une grave maladie le fit réfléchir. Il se repentit. Ne sachant ni lire, ni écrire, seulement chanter, il devint ermite et impressionna par ses austérités et sa fidélité à l'Eglise. A ceux qui voudraient entrer en dissidence dans des mouvements religieux divers, il fait comprendre et vivre les exigences de la foi. Des disciples affluent. Il doit fonder plusieurs maisons à leur intention. Après sa mort en 1249, elles fusionneront avec celles des Ermites de Saint-Augustin.